D'un côté, il y a la latéralisation. De l'autre il y a l'environnement. Mais où suis-je moi? Y-a-t'il un moi ou est-ce que je me l'invente, a postériori.
Que ce serait commode s'il y avait moins de moi, non? Un petit peu moins de moi pour certains dictateurs? Un peu naif, oui. Ce n'est pas le dictateur qui fait la dictature. Mais ce n'est pas mon sujet, la politique, donc je m'en arrête là.
Si l'utilisation d'une partie de mon cerveau fait qui je suis, je ne suis pas encore mon cerveau, si? Alors on pourrait dire: je vois de l'activité dans ce grand magazin: le grand magazin est la structure qui fait que toutes ces personnes toutes petites dedans se déplacent.
Ce n'est pas le fait d'être grand qui fait la différence.
Pourtant on cherche le cerveau pour localiser ce qui fait que 'je' pense. Si ce n'est pas le cerveau qui prédertiminé par la génétique me détermine, c'est mon environnement.
Et moi, je n'ai aucun rôle? N'ai-je plus le choix? Je ne peux rien inventer de ma propre décision, je ne fais que réagir sur des impulses hors de moi? Mais si: je peux inventer une nouvelle technique, même malgré mon environnement et mon cerveau.
Je peux même le faire dans ma tête, pendant que je fais autre chose, utilisant mon imagination. J'aime le faire quand je regarde loin.
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