Shakespeare a un effet cérébral

Aujourd'hui mon œil est tombé sur un petit article qui discute un expériment. Apparément, un livre va apparaître en Anglais dans lequel un rapport est fait entre la lecture d'un texte de Shakespeare et une onde mesurée à l'aide d'un électro-encéphalogramme. Cette onde se mesure aussi quand on résoud un puzzle ou quand on voit un mot dans une phrase qui en change la grammaire. Ça me plaît beaucoup comme argument qu'en effet l'act de penser a un effet mesurable sur le cerveau. Ce pauvre cerveau utilise d'ailleurs beaucoup de notre énergie corporelle chaque jour. Il y a du scepticisme contre l'idée postulée que lire Shakespeare pourrait guérir la démentie. Si seulement c' était vrai... Peut-être ça pourrait faire une petite différence, mais peut-être elle se restraint à cette partie qu'on utilise beaucoup.